lundi 9 février 2015

Paluma Range National Park


20-23/08


Ensuite, direction le parc national de Paluma Range, un autre petit coin de paradis!



Un « trust shop » de fruits et légumes locaux : pastèques, citrons, courgettes, concombres, fruits de la passion, bananes, noix de coco, piments, mais aussi Yellow Squashes, Jak Fruits, Star Apples, Caranbolas


Un « trust shop », c’est un stand dans lequel il n’y a pas de vendeur, mais juste une petite boîte pour payer! C’est possible ici!


Toboggan naturel à Big Crystal Creek, youhou!



A Sacred Kingfisher :



Promenade dans la rainforest de Paluma (avec Gloria et son ipad!) :



Une Australian Tarentula (non dangereuse) :



On a remonté Waterview Creek tous ensemble (un vrai challenge pour Gloria!) :



Nous voilà au lookout de Jourama Falls, de gauche à droite : 
Yann (français), Rahel (estonienne), Gloria (taïwanaise) et nous!



La famille chauve-souris qui roupille! Ce sont des Beccari’s Freetail-bats, minuscules chauve-souris sans queue et avec un nez de cochon :


Townsville & Balgal Beach



18-20/08


Notre copine taïwanaise Gloria nous a appelé pour nous dire qu’elle s’était fait virer de la ferme de fraises (la patronne avait trouvé un coréen qui ramassait plus vite…). Comme elle n’avait presque rien vu de l’Australie, on lui a proposé de faire un petit bout de route avec nous. On est allé la chercher à Townsville et elle a voyagé avec nous jusqu’à Ingham.


Townsville est la plus grande ville tropicale de l’Australie, avec 140 000 habitants. C’est la capitale administrative et commerciale du Nord du Queensland.

Voici sa plage (The Strand) by night :



Sur la plage de Balgal Beach avec Gloria :



L’embouchure de Balgal Creek :



La devanture de la petite épicerie de Rolleston :



jeudi 5 février 2015

Bowling Green Bay National Park


16-18/08


On a retrouvé par hasard nos copains de la ferme de fraises, du coup on a fait un petit bout de voyage ensemble!
Notre première destination a été le parc national de Bowling Green Bay, un joli coin où on a trouvé plein d’animaux!


Un petit wallaby :



Un crapaud-buffle (Cane Toad) :



Originaires d’Amérique centrale et du Sud, les crapauds-buffles ont été introduits en Australie en 1935 pour éliminer un insecte nuisible dans les champs de cane à sucre. Mais il s’avère qu’ils ignorent complètement les insectes en question et préfèrent s’en prendre aux reptiles et amphibiens en voie de disparition… Dotés de glandes empoisonnées, ces crapauds sont très toxics. Et pour couronner le tout, ils prolifèrent : tout juste une centaine à l’origine, ils sont aujourd’hui plus de 200 millions. 
Nous on en voit régulièrement mais pour le moment ils nous dérangent pas…


Une belle Huntsman (non dangereuse malgré sa taille impressionnante), dans les toilettes :




Rando de 17km avec Yann & Rahel :




L’objectif de la rando, Alligator Falls :




A tree snake (inoffensif) :




A Blue Kookaburra (les Kookaburra du Nord, ils sont plus clairs, les ailes plus bleues et leurs cris sont différents aussi) :




Un goanna (gros varan pouvant atteindre 2m de long, celui-là en était pas loin) : 



mercredi 4 février 2015

Boulder Creek


12-14/08


On a passé quelques jours sur cette aire de camping gratuite complètement paumée mais très fréquentée!
Là-bas on a rencontré des gens supers : une famille d’australiens complètement déjantée, une australienne chanteuse et joueuse de yukulele, un guitariste français et son pote l’allemand. Du coup on passé une soirée à faire de la musique tous ensemble autour d'un feu de camp, ceux qui n’avaient pas d’instrument s’en sont fabriqué (bouteille en plastique remplie de riz, deux petites cuillères à taper l’une contre l’autre) ou bien chantaient et sifflaient!


Après-midi musicale :




Boulder Creek (creek veut dire « rivière ») :



Un Ghillie Suit Bug (on pense) :


C’est un ver - ou une larve - qui collecte ce qu’il trouve dans son environnement pour se faire un camouflage. S'il ne bouge pas, il ne se voit pas!


Ici les trains transportant la canne à sucre traverse les nationales (limitées à 100 km/h) et il n’y a même pas de barrière, il faut être très attentif :


Strawberry Farm - Camerons Pocket


1-11/08


On nous a indiqué une ferme de fraises qui recrutait, alors nous, tout contents, on y est vite allé et ça a été notre pire expérience professionnelle!
On donnait le meilleur de nous-même mais la patronne s’acharnait sur nous parce qu’elle aimait pas les français et qu’on était les derniers arrivés, elle avait besoin de passer ses nerfs sur quelqu’un et ça a été sur nous!
On était payé au kilo : 1$ pour 1kg de bonnes fraises ramassées - et on devait enlever les fraises pourries et les mauvaises herbes gratuitement - et 0,20$ pour une barquette de 250g. On gagnait entre 20 et 50$ par jour pour 8h de travail. On ne pouvait pas cueillir plus vite puisque la boss était toujours derrière nous à nous critiquer, à nous ordonner de refaire nos rangées parce qu’on avait oublié des mauvaises herbes… Elle était odieuse et prenait plaisir à nous rabaisser…
On a quand même travaillé 11 jours là-bas, on espérait que ça allait s’améliorer, et puis comme on voyait aucun changement, on est parti!

Mais cette expérience a quand même eu quelques aspects positifs. Déjà, maintenant on sait ce que c’est que d’être exploité, et nos futurs patrons nous paraitront super gentils! Et on s’est aussi fait de bons copains : un français, une estonienne et une taïwanaise, qu’on a retrouvés après!



Voilà les champs de fraises :


Il y avait seulement deux champs (six variétés de fraises différentes), mais comme les fraises murissent vite, on s’occupait d’un champ chaque jour et il y avait toujours du boulot. 
Pour ramasser les fraises, on était assis sur un chariot, les jambes écartées de chaque côté de la rangée et on remuait chaque plant de fraises pour ne pas en oublier. on faisait avancer le (lourd) chariot en arrière, en poussant avec nos pieds. C’était assez physique, après avoir arrêté on a eu des courbatures pendant encore deux semaines!
Pour éloigner les oiseaux, des hauts-parleurs émettaient en permanence des cris de rapaces ou d’autres sons pour les effrayer, il y avait aussi des explosions au gaz et - quand les clients n’étaient pas là (car ils faisaient aussi snack-bar et « Pick your own », c’est-à-dire que les gens pouvaient venir ramasser leurs propres fraises) le mari leur tirait dessus!



Un Rainbow Bee-eater, prêt pour le carnaval :